Abobo : la FAMA prône la stabilité et la continuité du développement

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Abobo : la FAMA prône la stabilité et la continuité du développement

Réunis autour de leur président, la Fédération des Associations et Mouvements d’Abobo (FAMA) s’engage résolument dans la campagne présidentielle. Entre mobilisation de terrain, recensement des électeurs et plaidoyer pour la paix, les acteurs associatifs d’Abobo se positionnent comme un relais citoyen au service du développement et de la cohésion sociale.‎‎

Cette initiative est soutenue Kandia Camara, directrice centrale de campagne chargée des femmes et des associations féminines, également directrice régionale de campagne d’Abobo et Anyama

Abobo, l’une des communes les plus dynamiques d’Abidjan, vibre au rythme de la campagne présidentielle. À la tête de la Fédération des Associations et Mouvements d’Abobo (FAMA), le président a réaffirmé la mission de sa structure : rassembler les associations locales et parler d’une seule voix pour mieux faire entendre les préoccupations citoyennes auprès des autorités.‎

Désormais nommé sous-directeur régional de campagne chargé des mouvements de soutien et associations, il mobilise sans relâche les présidents d’ONG, d’associations et de collectifs pour soutenir la candidature du Président Alassane Ouattara.‎‎

« Nous avons vu une Côte d’Ivoire en chantier. La femme et la jeunesse ont été placées au cœur du développement. C’est pourquoi nous soutenons le président Ouattara, le candidat de la paix et du vivre-ensemble », a-t-il déclaré.‎‎

Au-delà des discours, la FAMA mène un travail technique de recensement des électeurs, grâce à des fiches d’identification supervisées par des encadreurs. Objectif affiché : un “coup KO” dès le premier tour, le 25 octobre.

‎‎La jeunesse, qui représente 85 % de la population ivoirienne, est au centre de la stratégie de mobilisation. Selon la FAMA, cette génération, « mature et responsable », doit s’impliquer pleinement dans la construction d’une Côte d’Ivoire de progrès et de stabilité.‎‎

Le président de la fédération salue également le rôle de la mairie d’Abobo, dirigée par Madame Kandia Camara, présidente du Sénat et directrice régionale de campagne, qui accompagne la vie associative à travers la formation en gouvernance et la promotion de l’autonomisation des jeunes et des femmes.

‎‎Pour la FAMA, les associations sont des partenaires de développement qui méritent un appui institutionnel et financier. Présente à Bouaké, Yopougon, Anyama et dans plusieurs autres localités, la fédération plaide pour des subventions publiques afin de renforcer les actions citoyennes sur le terrain.‎‎Sur le plan politique, la FAMA revendique un engagement volontaire et consensuel en faveur du président sortant, au-delà des appartenances religieuses, ethniques ou partisanes.‎‎

« Les réalisations parlent d’elles-mêmes : des infrastructures modernes, des démarches administratives simplifiées, une justice accessible. Les jeunes veulent du concret, pas des promesses », rappelle le président.‎

La FAMA appelle à préserver la paix et la stabilité chèrement retrouvées depuis la crise post-électorale. « Regardons dans le rétroviseur de 2010 et disons : plus jamais ça ! »‎Pour ces acteurs de la société civile, le développement durable ne peut se construire que dans la paix, la cohésion et la continuité.

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