Une onde de choc a traversé le Lycée Seydina Limamou Laye de Guédiawaye, en banlieue dakaroise, après le décès tragique d’une élève en pleine session du baccalauréat. Dior Dieng, candidate en classe de Terminale L2, a succombé à un malaise survenu ce vendredi 4 juillet lors des épreuves.
Selon les premières informations recueillies, l’élève a été prise d’un malaise au cours d’une des épreuves écrites. Malgré une intervention rapide, elle n’a pu être sauvée. Son décès brutal a provoqué une vive émotion parmi ses camarades, ses enseignants et le personnel administratif.
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Dans un communiqué empreint d’émotion, le gouvernement scolaire du lycée (GOSCO) a rendu hommage à la défunte :
« C’est avec une profonde tristesse et une grande consternation que nous annonçons le décès brutal de notre camarade Dior Dieng. Élève brillante, souriante, respectueuse, elle était appréciée de tous. Sa disparition laisse un vide immense dans notre communauté scolaire. »
De nombreux témoignages convergent pour dépeindre une jeune fille engagée, appréciée autant pour ses qualités humaines que pour son sérieux scolaire. La tristesse est palpable au sein de l’établissement, où un moment de recueillement a été organisé à sa mémoire.
Les circonstances exactes du drame restent à éclaircir, mais cet événement soulève une fois de plus la question du stress intense subi par les élèves durant les examens nationaux.
Alors que l’opération « Bac sans stress » menée par le FSN (Fonds de Solidarité Nationale) battait son plein ces derniers jours pour accompagner les candidats, le décès de Dior Dieng vient rappeler cruellement les enjeux de santé physique et mentale liés aux évaluations scolaires de haut niveau.
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L’ensemble de la communauté éducative adresse ses condoléances les plus sincères à la famille de la défunte. Une cellule psychologique pourrait être mise en place dans les prochains jours pour accompagner les élèves traumatisés.
Imam chroniqueur Babacar Diop
