Une révélation glaçante secoue l’opinion publique. Un homme, identifié sous le nom d’Emma et de nationalité ghanéenne, a récemment confessé avoir été impliqué dans des pratiques occultes impliquant le sacrifice spirituel de quatorze femmes. C’est lors d’un témoignage relayé par NetAfrique que l’homme dit avoir été autrefois ritualiste.

Selon son récit, tout aurait commencé après la perte de son emploi dans les mines, une période de vulnérabilité au cours de laquelle un ancien proche, devenu subitement riche, lui aurait tendu la main. Présentée comme une opportunité d’embauche, cette proposition allait en réalité le mener au cœur d’un groupe occulte basé à Kumassi.
Emma raconte avoir été piégé et contraint de rejoindre cette confrérie pour échapper à de prétendues menaces sur sa vie. Une fois intégré au groupe, il se serait vu attribuer une mission pour le moins macabre : entretenir des rapports intimes avec quatorze femmes, puis récupérer les mouchoirs utilisés pour essuyer leurs parties intimes — des objets qui servaient ensuite à des rituels d’enrichissement.
Un acte qu’il affirme avoir accompli dans l’espoir de retrouver sa stabilité financière, mais qui, aujourd’hui, le hante profondément. Submergé par les remords, Emma déclare ne plus pouvoir vivre en paix avec le poids de ces sacrifices.
Ces révélations soulèvent des interrogations troublantes sur l’ampleur de certaines pratiques occultes encore ancrées dans certaines communautés. L’affaire, bien que non encore confirmée par les autorités locales, relance le débat sur la protection des personnes vulnérables face aux dérives spirituelles et les limites morales de la quête de richesse.