
Dans une interview exclusive publiée par le magazine américain The Atlantic le 24 avril 2025, l’actuel président des États-Unis, Donald Trump, a une fois de plus créé la polémique. S’exprimant sur sa gouvernance depuis son retour à la Maison Blanche, il a déclaré sans détour : « Je dirige le pays et le monde. »
Cette déclaration, à la fois provocatrice et révélatrice de sa vision du pouvoir, a immédiatement enflammé les réseaux sociaux et la sphère politique internationale. Trump, connu pour son style direct et sa rhétorique percutante, affirme que contrairement à son premier mandat, où il devait « survivre politiquement », il se sent désormais en pleine maîtrise.
« Lors de mon premier mandat, je devais diriger le pays et survivre. Maintenant, je dirige le pays et le monde. Et je m’amuse beaucoup. Ce que je fais est vraiment sérieux », a-t-il ajouté.
Cette sortie médiatique intervient dans un contexte international tendu, notamment avec les conflits persistants en Ukraine et au Moyen-Orient. Lors de l’interview, Trump a également évoqué sa relation avec le président russe Vladimir Poutine, affirmant avoir confiance en lui pour mener à bien des négociations de paix.
Une vision impériale du leadership ?
La formule « je dirige le monde » n’est pas sans rappeler certaines de ses anciennes déclarations controversées. Pour ses partisans, il s’agit d’un discours fort soulignant la place dominante des États-Unis sur l’échiquier mondial. Pour ses détracteurs, cette vision témoigne d’un excès de confiance, voire d’un certain mépris pour les institutions internationales et les autres puissances.
Cette interview, publiée en Une de The Atlantic, alimente les débats sur la manière dont Trump perçoit le rôle de président — non plus seulement comme chef d’un État, mais comme un leader global, au-dessus des équilibres diplomatiques traditionnels.
Dunia News suivra de près les réactions de la communauté internationale à cette déclaration, notamment celles des alliés européens et asiatiques.