Une tragédie choquante s’est déroulée au village Ongandi, dans l’arrondissement de Soa, situé dans la région du Centre, où un homme d’environ 70 ans a été accusé d’avoir perpétré des actes d’une violence inouïe contre sa concubine de 65 ans, une enseignante à la retraite. Les faits, révélés par la Gendarmerie nationale, mettent en lumière une réalité alarmante de violences domestiques.
Les détails de l’incident sont glaçants. Selon les rapports, l’homme, avec l’aide de ses quatre fils, a d’abord aspergé sa concubine d’acide, provoquant des blessures graves. Ensuite, il a utilisé une machette chauffée au feu pour la torturer. Ces actes de cruauté insensée ont suscité l’indignation et l’horreur au sein de la communauté.
C’est grâce au courage de la victime, qui a déposé une plainte à la Brigade de Gendarmerie de Soa, que les autorités ont pu intervenir. Suite à cette plainte, le bourreau a été interpellé, et les enquêtes ont révélé des soupçons de plusieurs assassinats à son encontre.
Cet incident tragique met en lumière un problème plus large : la violence domestique, qui touche de nombreuses femmes en silence. Les statistiques montrent une augmentation des cas de violences conjugales dans diverses régions, ce qui souligne l’urgence d’agir pour protéger les victimes et sensibiliser la population sur ce fléau.
L’horreur vécue par cette enseignante à la retraite à Soa est un appel à la mobilisation contre la violence domestique. Chaque acte de violence doit être condamné et chaque victime soutenue.
