Dans l’arrondissement de Soclogbo, commune de Dassa-Zoumè, une affaire d’adultère suscite l’émoi. Une femme, mère de quatre enfants et cuisinière dans la cantine scolaire d’une école primaire locale, a reconnu avoir entretenu une relation extraconjugale avec un enseignant de l’établissement.
Selon les témoignages recueillis, l’enseignant contactait la femme tard dans la nuit pour organiser des rencontres. Malgré les accusations du mari, l’enseignant niait les faits devant le directeur de l’école. Confrontée, la femme a avoué l’adultère, mentionnant que l’enseignant lui avait promis divers avantages et de prendre soin d’elle et de ses enfants. Elle a également révélé que l’enseignant avait pratiqué des rituels traditionnels pour éloigner son mari. Malgré la proposition de son époux d’effectuer des rites pour restaurer leur vie conjugale, elle a refusé, préférant poursuivre sa relation avec l’enseignant.
Cette situation met en lumière la nécessité pour les acteurs du monde éducatif de maintenir des relations professionnelles respectueuses, notamment avec le personnel des cantines scolaires.
