Conducteur de Chariot Élévateur : Un métier d’avenir – Interview Exclusive avec le DG de Global Service International

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Conducteur de Chariot Élévateur : Un métier d'avenir – Interview Exclusive avec le DG de Global Service International

De nos jours la logistique et la manutention sont devenues des moteurs incontournables des économies modernes, un métier attire de plus en plus de jeunes : celui de conducteur de chariot élévateur. Alliant technicité, utilité et débouchés à l’échelle mondiale, il s’impose comme un véritable passeport vers l’emploi. Dans cet entretien exclusif, le directeur général de Global Service International lève le voile sur les promesses et les réalités de cette profession d’avenir.

Journal : Monsieur le Directeur, soyons francs : pourquoi un jeune devrait-il choisir le métier de conducteur de chariot élévateur ?

DG de Global Service International : Parce que c’est un métier qui ne connaît pas la crise ! Dès qu’il y a un port, une usine, un entrepôt ou une grande surface, il faut un conducteur qualifié pour déplacer les marchandises. Sans eux, rien ne circule. C’est une profession concrète, indispensable, et qui offre une stabilité professionnelle rare aujourd’hui.

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Journal : Beaucoup pensent que ce type de formation ne mène pas loin. Que répondez-vous ?

DG : Je leur dis qu’ils se trompent ! Nos diplômés ne se contentent pas de trouver un emploi localement. Ils sont aussi courtisés à l’international. Notre attestation est reconnue en Allemagne, au Canada, aux États-Unis… Et la demande est énorme. Nous allons au-delà de la simple formation : nous accompagnons nos lauréats dans leurs démarches de visa. Concrètement, cette formation peut transformer un jeune togolais en professionnel recherché à l’étranger.

Un tremplin pour les bacheliers et les jeunes sans diplôme.

Pour un jeune bachelier qui se cherche, ou pour quelqu’un sans formation scolaire solide, cette qualification est une bouée de sauvetage. Pas besoin de longues années d’études, pas besoin de permis de conduire préalable : en un mois, l’apprenant devient opérationnel. Et sur le marché, il trouve immédiatement sa place. C’est un raccourci vers une vie professionnelle digne, ici au Togo ou au-delà des frontières.

Mieux encore : alors que beaucoup hésitent entre des filières saturées, la conduite de chariot élévateur ouvre une voie encore méconnue mais stratégique. Pour un bachelier, c’est un complément concret qui met toutes les chances de son côté. Pour un jeune sans diplôme, c’est une deuxième chance, une clé qui ouvre les portes de l’industrie, de la logistique et même des opportunités internationales.

Journal : On parle beaucoup de la Plateforme Industrielle d’Adétikopé (PIA). Ce métier a-t-il sa place dans cette dynamique ?

DG : Absolument ! Le PIA est un hub industriel et logistique qui attire de grandes entreprises. Et qui dit logistique dit manutention. Les besoins en conducteurs d’engins qualifiés vont exploser avec le développement de cette plateforme. C’est une preuve que ce métier est non seulement d’avenir, mais aussi en parfaite adéquation avec la vision stratégique du gouvernement togolais pour moderniser l’économie et booster l’emploi des jeunes.

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Journal : Quel message fort adressez-vous à la jeunesse togolaise ?

DG : Mon message est clair : arrêtez d’attendre que la chance vienne à vous. Saisissez cette opportunité ! En quelques semaines, vous pouvez acquérir une compétence recherchée partout dans le monde. La formation démarre le 06 octobre 2025 à Atakpamé, et je vous le dis : c’est peut-être le premier pas vers la vie professionnelle que vous méritez. Jeunes du Togo, vous avez un potentiel énorme. Transformez-le en réalité.

Prochaine session : 06 octobre 2025

Lieu : Atakpamé

Contact : +228 71 48 47 47

Frais d’inscription : 10 000 FCFA

Durée : 01 mois (04 fois par semaine)

« Une formation, un métier, un avenir »

Interview réalisée par Jean-Marc Ashraf

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