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Trump deviendra le président du monde, – Vice-président américain Vance.

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Trump deviendra le président du monde, - Vice-président américain Vance.

Le vice-président américain, JD Vance, a récemment fait plusieurs déclarations concernant la situation internationale et la guerre en Ukraine. Lors de la Conférence d’action politique conservatrice (CPAC) à National Harbor, Maryland, Vance a défendu les négociations du président Donald Trump avec le président russe Vladimir Poutine, affirmant que la fin du conflit entre la Russie et l’Ukraine était proche. Il a déclaré : « Comment allez-vous mettre fin à la guerre si vous ne parlez pas à la Russie ? » et a exprimé sa conviction que « nous sommes au seuil de la paix en Europe pour la première fois en trois ans » .

En ce qui concerne la force des alliances transatlantiques, Vance a souligné que « la force de notre alliance avec l’Europe dépend de notre capacité à orienter nos sociétés dans la bonne direction » . Il a également insisté sur l’importance de négocier directement avec la Russie pour mettre fin au conflit en Ukraine, critiquant les approches qui isolent Moscou.

Par ailleurs, Vance a exhorté le président ukrainien Volodymyr Zelensky à éviter de critiquer publiquement le président Trump, affirmant que de telles critiques pourraient nuire aux relations entre les deux pays et compliquer les efforts de paix .

Il est important de noter que, malgré ces déclarations, il n’existe aucune information crédible indiquant que le vice-président Vance ait affirmé que « Trump deviendra le président du monde ». Cette affirmation semble être une exagération ou une déformation des propos réels de Vance.

Ces déclarations interviennent dans un contexte où l’administration Trump cherche à réorienter la politique étrangère américaine, notamment en ce qui concerne le conflit en Ukraine et les relations avec la Russie. Les approches adoptées suscitent des débats tant au sein des États-Unis qu’à l’international, certains soutenant la nécessité de négociations directes, tandis que d’autres mettent en garde contre les risques d’apaisement envers Moscou.

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